08-02-21, 16:50
Bonjour à toutes et à tous,
Nouveau sur ce forum et débutant dt. J'ai une longue pratique de la photo argentique puis de la photo numérique. Utilisateur de Lr (jusqu'au passage sous abonnement) puis de DxO PL, le côté "boite noire" de ces outils et la politique commerciale des sociétés correspondantes ont fini par m'exaspérer.
darktable semble, après découverte de nombreux tutoriels, des discussions sur les forums et des avertissements des développeurs dont il faut saluer le travail et la continuité, plus qu'une alternative, un choix presque évident. Presque parce que comme il est souligné, darktable a sa logique propre qu'il faut intégrer. Presque aussi en raison de la complexité apparente liée à l'existence de nombreux modules de traitement et au débat interne qui agite la communauté des développeurs sur le recours historique à l'espace de couleur Lab et à ses implications.
Aurélien Pierre a expliqué sur divers supports les contraintes et les limites résultant de ces choix historiques et notamment le fait que certains modules anciens n'avaient pas la meilleure efficacité.
Pour débuter avec darktable je fais partie de ceux qui souhaitent comprendre la logique du flux de traitement et son organisation effective avant de plonger dans les opérations de traitement. Et non l'inverse. Force est de reconnaître que de nombreuses informations sont disponibles (manuel, profusion de tutoriels dont il faut surveiller les dates de parution) mais que lorsque l'on découvre darktable, il subsiste une interrogation sur l'organisation du travail et la logique sous-jacente.
Dans son billet "Au secours" Aurélien Pierre argumente sur les modules "incontournables et validés", ceux que l'on peut utiliser avec précautions et ceux qu'il vaut mieux éviter en suggérant des alternatives. Cela tranche avec bonheur avec l'apparent désordre qui résulte de la présence simultanée de 72 modules de traitement, d'autant que l'objectif principal demeure de prendre des bonnes photos et si possible de limiter à l'essentiel le post-traitement.
Il existe aussi sur le forum des fils de discussion sur le nombre minimal, optimal de modules à utiliser. Dans l'absolu il n'y a pas de réponses si j'ai bien compris car cela dépend de chaque photo. Et des réglages des APN. A propos du réglage du profil d'entrée de couleur par exemple, AP indique que du RAW c'est du RAW. Dans le cas du Canon 5D MkII que j'utilise l'espace couleur à sélectionner est au choix "sRVB" ou "AdobeRVB". Ce dernier étant plus étendu, je l'ai sélectionné. Je crois comprendre qu'il faut une correspondance au profil d'entrée dans darktable. Et il est donc normal que cette entrée puisse être sélectionnée et non aveugle comme dans Lr ou DxO.
En pratique, on aimerait avant de plonger de manière irréversible dans darktable être à peu près sûr d'avoir bien compris. A cette fin j'ai consigné sur un tableau ce qui me paraissait clair.
Mais est-ce bien le cas?
Nouveau sur ce forum et débutant dt. J'ai une longue pratique de la photo argentique puis de la photo numérique. Utilisateur de Lr (jusqu'au passage sous abonnement) puis de DxO PL, le côté "boite noire" de ces outils et la politique commerciale des sociétés correspondantes ont fini par m'exaspérer.
darktable semble, après découverte de nombreux tutoriels, des discussions sur les forums et des avertissements des développeurs dont il faut saluer le travail et la continuité, plus qu'une alternative, un choix presque évident. Presque parce que comme il est souligné, darktable a sa logique propre qu'il faut intégrer. Presque aussi en raison de la complexité apparente liée à l'existence de nombreux modules de traitement et au débat interne qui agite la communauté des développeurs sur le recours historique à l'espace de couleur Lab et à ses implications.
Aurélien Pierre a expliqué sur divers supports les contraintes et les limites résultant de ces choix historiques et notamment le fait que certains modules anciens n'avaient pas la meilleure efficacité.
Pour débuter avec darktable je fais partie de ceux qui souhaitent comprendre la logique du flux de traitement et son organisation effective avant de plonger dans les opérations de traitement. Et non l'inverse. Force est de reconnaître que de nombreuses informations sont disponibles (manuel, profusion de tutoriels dont il faut surveiller les dates de parution) mais que lorsque l'on découvre darktable, il subsiste une interrogation sur l'organisation du travail et la logique sous-jacente.
Dans son billet "Au secours" Aurélien Pierre argumente sur les modules "incontournables et validés", ceux que l'on peut utiliser avec précautions et ceux qu'il vaut mieux éviter en suggérant des alternatives. Cela tranche avec bonheur avec l'apparent désordre qui résulte de la présence simultanée de 72 modules de traitement, d'autant que l'objectif principal demeure de prendre des bonnes photos et si possible de limiter à l'essentiel le post-traitement.
Il existe aussi sur le forum des fils de discussion sur le nombre minimal, optimal de modules à utiliser. Dans l'absolu il n'y a pas de réponses si j'ai bien compris car cela dépend de chaque photo. Et des réglages des APN. A propos du réglage du profil d'entrée de couleur par exemple, AP indique que du RAW c'est du RAW. Dans le cas du Canon 5D MkII que j'utilise l'espace couleur à sélectionner est au choix "sRVB" ou "AdobeRVB". Ce dernier étant plus étendu, je l'ai sélectionné. Je crois comprendre qu'il faut une correspondance au profil d'entrée dans darktable. Et il est donc normal que cette entrée puisse être sélectionnée et non aveugle comme dans Lr ou DxO.
En pratique, on aimerait avant de plonger de manière irréversible dans darktable être à peu près sûr d'avoir bien compris. A cette fin j'ai consigné sur un tableau ce qui me paraissait clair.
Mais est-ce bien le cas?