Note de ce sujet :
  • Moyenne : 0 (0 vote(s))
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
Faut il garder ses Raw pour profiter des fonctions de catalogage ?
#11
On peut bien aussi associer des mots-clés aux fichiers jpeg dans dt !
Répondre
#12
Oui on peut se poser toutes les questions que l'on veut! On peut monter un flux de travail qui ressemble à une usine à gaz. Personnellement je suis bien trop étourdi et stupide pour faire cela sans un jour casser tout. On parle ici d'un flux de travail pour photographe... plus c'est simple et plus ça colle à l'outil et plus on est en permanence aidé... plus on s'en éloigne et plus on cherche les ennuis jusqu'à tout casser et passer des heures à essayer de retomber sur ses pattes. Et ce n'est pas de la théorie, j'ai déjà vu plusieurs photographes se prendre les pieds dans le tapis Smile

Bonne chance!
--
Pascal - GNU/Debian (sid) - version darktable git/master
http://photos.obry.net
Répondre
#13
Big Grin 
(16-01-18, 19:36)Jurande a écrit : On peut bien aussi associer des mots-clés aux fichiers jpeg dans dt !

OK, tu veux dire qu'on peut associer a posteriori les mots-clés de ses RAWs sur les JPEGs exportés ? Automatiquement ou à la main ?

(16-01-18, 19:43)pascal a écrit : Oui on peut se poser toutes les questions que l'on veut! On peut monter un flux de travail qui ressemble à une usine à gaz. Personnellement je suis bien trop étourdi et stupide pour faire cela sans un jour casser tout. On parle ici d'un flux de travail pour photographe... plus c'est simple et plus ça colle à l'outil et plus on est en permanence aidé... plus on s'en éloigne et plus on cherche les ennuis jusqu'à tout casser et passer des heures à essayer de retomber sur ses pattes. Et ce n'est pas de la théorie, j'ai déjà vu plusieurs photographes se prendre les pieds dans le tapis Smile

Bonne chance!

Oui oui, moi ça me paraît plutôt sain "de se poser toutes les questions que l'on veut". Big Grin
Après tout, chacun est libre de se prendre les pieds dans le tapis.
Ou pas. Rolleyes
dt stable / Ubuntu 22.04
Répondre
#14
Non je veux juste dire que dt peut aussi cataloguer des fichiers jpeg en utilisant des mots clés. Après la récupération des mots-clés d'un RAW sur un fichier exporté, je n'en sais rien.
Répondre
#15
Bonjour,

sans entrer dans le débat "archiver ses RAW ou pas".

J'ai fait un test. Les mots-clés préalablement affectés à un RAW sont inclus dans le fichier exporté. Pour un JPEG, ils seront insérés dans l'en-tête du fichier, qui sera lu par tous les logiciels, visionneurs ou retoucheurs. Cela devrait être pareil pour le format TIFF, dont le JPEG est dérivé.

Par contre, pour copier des mots-clés d'un fichier à l'autre à postériori, je ne vois que les logiciels spécialisés dans la manipulation des métadonnées pour faire ce travail. Le premier qui me vient à l'esprit est bien sûr exiftool, multi plate-formes. D'autres en sont probablement capables, souvent parce qu'ils intègrent le moteur exiftool dans leur code.

Pour les Mac, je pense à GraphicConverter, pour les PC à fenêtres, peut-être XnView. On m'avait également parlé en bien de Image Ingester (Mac ou PC ?).

À ceux qui s'intéressent de près aux questions de catalogage, d'archivage et autres DAM(ned), je signale les bouquins et le site de Peter Krogh.
- numérique & argentique, du compact 1" au 645
Flux
- import : Rapid photo downloader
- catalogage : Digikam
- labo : darktable 4.4.0 >> ART

Répondre
#16
Mon avis :

1. cataloguer les RAW et recataloguer les JPG, donc générer des doublons, me semble une usine à gaz et une fausse bonne idée

2. je ne comprends pas l'agitation autour des mots-clés. En 8-9 ans d'utilisation de dt, je ne les ai jamais utilisés. J'importe mes photos dans des dossiers /année-mois-jour-nom_du_shooting, avec des noms de fichier nom_du_shoting-numéro_séquence-nom_original_dans_le_boîtier, et je gère mes archives uniquement par dossier/collection. Quand je recherche quelqu'un/quelque chose, je le trouve dans le nom du dossier.

3. j'exporte mes JPG ou les TIFF pour la retouche Photoshop dans un autre disque avec la même structure de dossiers et le nom du RAW original, suivi d'un suffixe (-WEB, -PHOTOSHOP, -PRINT) pour différencier les versions des exports. Si j'ai besoin de retrouver une photo, en général je passe par le navigateur de fichier système et mes mots-clés (en fait, juste le titre de la séance) sont dans le nom de fichier. Vu que j'importe les photos sur mon site web en passant par le navigateur de fichier, je trouve plus vite ce ue je cherche.

Je conçois l'utilisation des mots-clés pour un magazine qui chercherait une illustration pour un thème donné dans une base de données de plusieurs photographes, mais côté photographe, tu le sais que les photos 2017-08-20-Port de Landévennec c'est pas des photos de montagne ni de chatons. Du coup, les mots-clés, c'est se compliquer la vie je trouve.

Après, la question du workflow se pose dès la prise de vue. Quand j'étais débutant et mauvais, je pouvais faire 1300 photos par jour ou par shooting de 4h. Dont 99.99 % étaient nulles. Quand j'ai commencé l'argentique, j'ai commencé à shooter d'une manière complètement différente (en même temps, à 8 $ la pellicule de 36…). Maintenant, je fais rarement plus de 200 photos/jour en numérique. Je prends plus le temps, et je sais quand ça n'est pas la peine de déclencher. La conséquence, c'est qu'une galerie de 200 photos et moins s'archive très bien sans mots-clés.
Aurélien, photographe portraitiste, spécialiste calcul.
Développeur de filmique, égaliseur de tons, balance couleur, etc.
darktable est mon métier, pensez à m'aider :
[Image: 2FAd4rc]
Répondre
#17
Je partage la plus grande partie de ton message Aurélien. Juste un bémol sur les mots-clés pour moi, ces derniers me permettent de retrouver des photos rapidement sur un thème particulier (les ponts, la mer, les ports, les bateaux) et aussi la possibilité de retrouver toutes les photos de mon fils dans ma photothèque pour lui faire une planche contacte avec sa tête de 6 ans à 23 ans Smile

Je n'utilise pas les mots-clés énormément mais pour cela c'est très pratique. Je conçois les mots-clés un peu comme un classement verticale, je me fais des filtres de collection enregistré qui correspondent à des collections virtuelles comportant des photos de différents albums et ceux en fonction des thèmes sur lesquels je travaille.
--
Pascal - GNU/Debian (sid) - version darktable git/master
http://photos.obry.net
Répondre
#18
A chacun son mode de catalogage, personnellement j'ai opté pour un classement hiérarchisé de dossiers.
Par exemple j'ai un dossier 'villes et lieux' qui ressemble à cela :

[Image: Dossiers.jpg]

Un autre dossier famille avec des sous-dossiers par années

etc...

Je pense que chacun doit adapter son classement à ses besoins qui peuvent être très différents d'un individu à un autre. Un professionnel,  par exemple, a des contraintes que n'a pas un amateur.

Au début j'avais également utilisé une hiérarchie par mots-clés pour le classement de mes macros d'insectes, mais finalement je reviens à un classement par dossiers qui me va mieux.

Nous avons la chance d'avoir un outil qui offre une grande liberté de s'adapter aux besoins de chacun.
Répondre
#19
Je vais simplement expliquer comment je procédais jusqu'à maintenant et l'influence de l'utilisation de Darktable sur ma méthode de travail. et les interrogations sur la façon de gérer le travail déjà effectué. Ce n'est probablement pas un modèle mais.....

je fais beaucoup de photos en balades pédestres, ou moto avec des photos "d'opportunité" (la lumière est belle, le cadre agréable...) des photos de spectacles. D'une façon générale, pour limiter le nombre de photos stockées, je fais une pré sélection des RAW en ne conservant que ceux qui m'intéressent
en revenant d'une journée de balade je me retrouve avec 200 clichés. il en reste moins de 100 après tri. en revenant d'un spectacle, je me retrouve avec une centaine de clichés et il en reste une trentaine après tri

Jusqu'à présent je travaille avec 3 sources d'images.
- un smartphone Samsung S7 -> JPG (GPS)
- un Sony DSC 90V -> JPG (GPS)
- reflex Canon 5D Mk2 -> RAW en complément le Smartphone me permettait de localiser la photo

a partir de ce mois ci le 5D Mk2 est remplacé par un 6D Mk2 (RAW+GPS)
Jusqu'à présent, je travaillais avec Digital Photo professionnal (Canon) pour développer les RAW sur mon ordi portable (Win7), je transférais le tout sur mon ordi fixe (GNU Linux Manjaro) et j'attribuais les mots clefs aux RAW et JPG, produisais des JPG redimensionnées pour diffusion sur le web avec Digikam (5.7) ...
Pour l'archivage, je conservais le tout.... Ce qui commence à représenter un sacré volume...

Darktable va me permettre d'éviter de conserver les JPG associées aux RAW. Une sacré économie de volume.

Je ne sais pas s'il va me permettre d'éviter le passage par Digikam pour la poursuite du catalogage. Il faudra que je vérifie la compatibilité avec les mots clefs générés par ce logiciel. D'autre part, les collections archivées sur Digikam sont lourdes (13 ans de photo numérique). je n'ai encore rien décidé à ce sujet là. La multiplicité du matériel aussi ne facilite pas les choses.

L'intérêt des mots clefs hiérarchisés est clair pour moi. sur une journée de photo, je photographie différents thèmes, différents lieux. Pour les retrouver d'un album à l'autre ce système de classement m'est indispensable. il en est de même pour les photos des personnes qui m'accompagnent.
L'exemple type, à ce propos a été la construction d'un diaporama pour un anniversaire. J'ai retrouvé 10 ans de photos d'une personne prises dans diverses situation en un clic de souris..
Répondre
#20
J'utilise la méthode décrite pas Aurélien depuis le début de ma pratique en photo numérique avec une adaptation à ma pratique et que chacun peut adapter à ces exigences comme par exemple : avoir un répertoire différent par APN .
Répondre


Atteindre :


Utilisateur(s) parcourant ce sujet : 1 visiteur(s)