22-10-18, 20:31
Salut,
Je poste ici parce que j'ai l'impression que les (le ?) principaux intéressés sont ici, mais je peux passer sur la mailing-list ou le redmine si besoin.
Voici mes impressions après test du nouveau module « balance de couleurs ».
Première nouveauté : les curseurs de couleurs qui s'ajustent automatiquement pour préserver la luminance globale. J'aime bien, mais ce n'est probablement pas une bonne idée d'avoir ce comportement obligatoire. Premier exemple : si je veux reproduire le traitement de quelqu'un d'autre qui me dit +0,001 sur le rouge, -0,001 sur le vert, et 0 sur le bleu, c'est très pénible d'arriver à une valeur précise (à chaque fois qu'on fixe la valeur pour un curseur, les autres bougent). Deuxième exemple : revenir à 0 partout. Quand on double-clique sur un curseur, celui-ci revient à 0, mais du coup les autres bougent. Je n'ai pas trouvé de moyen simple de revenir à 0 (le mieux que j'ai trouvé est la méthode itérative : cliquer jusqu'à ce que l'erreur d'arrondi soit négligeable ;-) ). Bref, je pense qu'une petite case à cocher « preserve luminance » pour passer de l'ancien mode au nouveau serait bienvenu.
Deuxième nouveauté : les pipettes. Sur le principe ça a l'air super, mais je suis perdu et je ne comprends pas comment c'est censé marcher. Enfin, j'ai vu la vidéo d'Aurélien Pierre et dans la vidéo ça a l'air de marcher nickel, mais chez moi pas de succès. J'écris ça volontairement avant d'avoir re-regardé pour comprendre les détails : il y a sans doute une logique mais je teste aussi pour voir si on retrouve la logique avant d'avoir vu la doc.
Première surprise : la notion de « pipette active » est différente de celle des autres modules. Avec « exposure », « levels » et le mode spot de « white balance », on clique sur la pipette et elle devient active, puis la zone sélectionnée est prise en compte au fur et à mesure qu'on sélectionne sur l'image. Pas besoin de recliquer quelque part pour valider. Là, il ne se passe rien quand on choisi une zone sur l'image, et j'ai mis du temps à comprendre qu'il fallait re-cliquer sur la pipette pour que la zone sélectionnée soit prise en compte.
Deuxième surprise (là c'est assez clairement un bug) : si on clique sur une pipette pour l'activer alors qu'une autre pipette était déjà active, on obtient une situation où les deux icônes de pipettes sont « actives » (gris clair), mais il ne se passe plus rien quand on clique sur l'image. Plus précisément :
1) ouverture du module
2) clic sur la première pipette « factor »
3) clic sur la deuxième pipette « factor »
4) glisser sur l'image
Attendu : en étape 3 la première pipette est désélectionnée et la seconde devient active, en étape 4 on peut sélectionner la zone d'image.
Obtenu : en étape 3 les deux pipettes sont marquées actives, en étape 4 il ne se passe rien.
Ça paraît artificiel comme ça, mais si on ajoute 2-bis) sélectionner une zone sur l'image, c'est la première chose que j'ai tenté : pipette, selection de zone, pipette suivante, sélection de zone, ...
Il doit y avoir un xor quelque part : la sélection sur l'image est active quand on a un nombre impair de pipettes sélectionnées ;-).
Troisième surprise : un clic sur « reset parameters » ne désactive pas les pipettes.
Quatrième surprise : dans la plupart des autres modules, quand la pipette est active c'est le fond de l'icône qui est plus clair. Par exemple, dans « levels » :
une pipette blanche, une grise un noire pour les 3 niveaux, et la pipette sélectionnée a un fond gris clair. Dans « tone curve », pareil c'est la couleur d'arrière plan qui indique si la pipette est active. Là c'est la couleur d'avant plan (de la pipette) qui change. Et elle ne change pas beaucoup donc c'est dur à distinguer.
Dernière surprise : les pipettes ne sont pas désactivées quand on change de mode. Exemple :
1) Sélectionner lift/gamma/gain (ProPhoto)
2) activer la pipette « grey fulcrum »
3) Sélectionner (sRGB)
=> La pipette n'est plus visible, mais elle est toujours activée (et du coup on ne peut plus rien faire).
Voila, en résumé : il reste pas mal de petits « glitchs » d'ergonomie, mais probablement assez facilement corrigeables. Si on fait abstraction de ces glitchs, le module est vraiment sympa.
Je poste ici parce que j'ai l'impression que les (le ?) principaux intéressés sont ici, mais je peux passer sur la mailing-list ou le redmine si besoin.
Voici mes impressions après test du nouveau module « balance de couleurs ».
Première nouveauté : les curseurs de couleurs qui s'ajustent automatiquement pour préserver la luminance globale. J'aime bien, mais ce n'est probablement pas une bonne idée d'avoir ce comportement obligatoire. Premier exemple : si je veux reproduire le traitement de quelqu'un d'autre qui me dit +0,001 sur le rouge, -0,001 sur le vert, et 0 sur le bleu, c'est très pénible d'arriver à une valeur précise (à chaque fois qu'on fixe la valeur pour un curseur, les autres bougent). Deuxième exemple : revenir à 0 partout. Quand on double-clique sur un curseur, celui-ci revient à 0, mais du coup les autres bougent. Je n'ai pas trouvé de moyen simple de revenir à 0 (le mieux que j'ai trouvé est la méthode itérative : cliquer jusqu'à ce que l'erreur d'arrondi soit négligeable ;-) ). Bref, je pense qu'une petite case à cocher « preserve luminance » pour passer de l'ancien mode au nouveau serait bienvenu.
Deuxième nouveauté : les pipettes. Sur le principe ça a l'air super, mais je suis perdu et je ne comprends pas comment c'est censé marcher. Enfin, j'ai vu la vidéo d'Aurélien Pierre et dans la vidéo ça a l'air de marcher nickel, mais chez moi pas de succès. J'écris ça volontairement avant d'avoir re-regardé pour comprendre les détails : il y a sans doute une logique mais je teste aussi pour voir si on retrouve la logique avant d'avoir vu la doc.
Première surprise : la notion de « pipette active » est différente de celle des autres modules. Avec « exposure », « levels » et le mode spot de « white balance », on clique sur la pipette et elle devient active, puis la zone sélectionnée est prise en compte au fur et à mesure qu'on sélectionne sur l'image. Pas besoin de recliquer quelque part pour valider. Là, il ne se passe rien quand on choisi une zone sur l'image, et j'ai mis du temps à comprendre qu'il fallait re-cliquer sur la pipette pour que la zone sélectionnée soit prise en compte.
Deuxième surprise (là c'est assez clairement un bug) : si on clique sur une pipette pour l'activer alors qu'une autre pipette était déjà active, on obtient une situation où les deux icônes de pipettes sont « actives » (gris clair), mais il ne se passe plus rien quand on clique sur l'image. Plus précisément :
1) ouverture du module
2) clic sur la première pipette « factor »
3) clic sur la deuxième pipette « factor »
4) glisser sur l'image
Attendu : en étape 3 la première pipette est désélectionnée et la seconde devient active, en étape 4 on peut sélectionner la zone d'image.
Obtenu : en étape 3 les deux pipettes sont marquées actives, en étape 4 il ne se passe rien.
Ça paraît artificiel comme ça, mais si on ajoute 2-bis) sélectionner une zone sur l'image, c'est la première chose que j'ai tenté : pipette, selection de zone, pipette suivante, sélection de zone, ...
Il doit y avoir un xor quelque part : la sélection sur l'image est active quand on a un nombre impair de pipettes sélectionnées ;-).
Troisième surprise : un clic sur « reset parameters » ne désactive pas les pipettes.
Quatrième surprise : dans la plupart des autres modules, quand la pipette est active c'est le fond de l'icône qui est plus clair. Par exemple, dans « levels » :
une pipette blanche, une grise un noire pour les 3 niveaux, et la pipette sélectionnée a un fond gris clair. Dans « tone curve », pareil c'est la couleur d'arrière plan qui indique si la pipette est active. Là c'est la couleur d'avant plan (de la pipette) qui change. Et elle ne change pas beaucoup donc c'est dur à distinguer.
Dernière surprise : les pipettes ne sont pas désactivées quand on change de mode. Exemple :
1) Sélectionner lift/gamma/gain (ProPhoto)
2) activer la pipette « grey fulcrum »
3) Sélectionner (sRGB)
=> La pipette n'est plus visible, mais elle est toujours activée (et du coup on ne peut plus rien faire).
Voila, en résumé : il reste pas mal de petits « glitchs » d'ergonomie, mais probablement assez facilement corrigeables. Si on fait abstraction de ces glitchs, le module est vraiment sympa.