23-06-17, 11:50
On va essayer de résumer :
DT en interne utilise selon les modules une notation L*a*b* ou RVB et donc ne s'impose pas de limite puisque ces espaces sont sensés contenir l'ensemble des couleurs visibles par un œil humain (très performant et très exercé !). Photoshop utilise également L*a*b* comme espace de travail et Lightroom une modification de Prophoto appelée Melissa RGB.
Tous les logiciels qui traitent sérieusement les couleurs doivent donc sans arrêt jongler avec ces modes de représentation différents. Par exemple, lorsqu'ils chargent un fichier JPEG ou TIFF, ils doivent vérifier l'espace de couleur dans lequel sont enregistrées les données du fichier et les convertir dans leur espace de travail. Puis pour afficher le fichier sur l'écran, ils doivent convertir à nouveau les données dans l'espace de couleur de l'écran et appliquer le profil de correction dudit écran. Enfin quand ils doivent enregistrer les données ils doivent convertir à nouveau celles-ci de leur espace de travail vers l'espace assigné pour l'enregistrement par l'utilisateur... Ouf ! Ce travail est réalisé par la librairie lcms ou lcms2 dans DT
- Il existe des espaces qui décrivent simplement la façon dont sont représentées les couleurs :CIE xyz et L*a*b*
- Puis des espaces de couleur de travail qui sont plus ou moins les limites de travail d'un logiciel et aussi la façon dont sont représentées les couleur dans un fichier : sRGB, Adbe RGB (1998), Prophoto
- Enfin les profils de couleur qui caractérisent les défauts des équipement de captation et de restitution (boitier, scanner, écran, projecteur, imprimante [à décomposer en rip, papier et encre])
- J'ai volontairement zappé la distinction entre RGB et CMYK puisque les photographes ne sont concernés que par le RGB
DT en interne utilise selon les modules une notation L*a*b* ou RVB et donc ne s'impose pas de limite puisque ces espaces sont sensés contenir l'ensemble des couleurs visibles par un œil humain (très performant et très exercé !). Photoshop utilise également L*a*b* comme espace de travail et Lightroom une modification de Prophoto appelée Melissa RGB.
Tous les logiciels qui traitent sérieusement les couleurs doivent donc sans arrêt jongler avec ces modes de représentation différents. Par exemple, lorsqu'ils chargent un fichier JPEG ou TIFF, ils doivent vérifier l'espace de couleur dans lequel sont enregistrées les données du fichier et les convertir dans leur espace de travail. Puis pour afficher le fichier sur l'écran, ils doivent convertir à nouveau les données dans l'espace de couleur de l'écran et appliquer le profil de correction dudit écran. Enfin quand ils doivent enregistrer les données ils doivent convertir à nouveau celles-ci de leur espace de travail vers l'espace assigné pour l'enregistrement par l'utilisateur... Ouf ! Ce travail est réalisé par la librairie lcms ou lcms2 dans DT
Mes photos : jpverrue.fr