Bonjour,
j'abonde dans le sens de Luc, quand il évoque l'investissement important dans l'apprentissage d'une application.
Je ne suis pas le seul à penser que c'est un frein majeur à la fuite d'une clientèle vers d'autres horizons.
Il est alors important pour un éditeur de créer, ou d'en favoriser la création, de tout un éco-système autour de l'application phare. Cela certes alourdit les développements, retarde les retours sur investissement, mais quand le tout fonctionne, vous pouvez admirer la machine à cash qui tourne à plein régime.
Le modèle économique que nous voyons sous la forme des abonnements répond à une évolution appelée depuis longtemps par les décisionnaires investisseurs, le SAAS (software as a service).
Cela existe depuis assez longtemps pour les entreprises, voyez les systèmes de gestion intégrés (ERP). Il fallait l'oser pour le grand public. Lightroom visait initialement les photographes indépendants, bien démunis depuis que le numérique fait reposer sur leurs épaules toute la chaine de production, depuis l'acquisition jusqu'au livrable.
Son succès en a fait un formidable outil de familiarisation du traitement numérique par les amateurs. Je vous laisse imaginer la poule aux œufs d'or que cela pouvait représenter.
De plus, Photoshop, probablement l'application dont le piratage était –c'est une hypothèse, le mieux toléré par son éditeur, élargit son marché en incluant les non-professionnels comme nouvelle source de profit.
Face à ce type de stratégie, le logiciel libre a de belles cartes à jouer, celle de la pérennité, de l'interopérabilité, du travail collaboratif.
[HS]
À un moment où il est bon ton de valoriser l'individualisme conquérant, j'espère et souhaite que ces valeurs sauront porter un contre-pouvoir salutaire.
[/HS]
j'abonde dans le sens de Luc, quand il évoque l'investissement important dans l'apprentissage d'une application.
Je ne suis pas le seul à penser que c'est un frein majeur à la fuite d'une clientèle vers d'autres horizons.
Il est alors important pour un éditeur de créer, ou d'en favoriser la création, de tout un éco-système autour de l'application phare. Cela certes alourdit les développements, retarde les retours sur investissement, mais quand le tout fonctionne, vous pouvez admirer la machine à cash qui tourne à plein régime.
Le modèle économique que nous voyons sous la forme des abonnements répond à une évolution appelée depuis longtemps par les décisionnaires investisseurs, le SAAS (software as a service).
Cela existe depuis assez longtemps pour les entreprises, voyez les systèmes de gestion intégrés (ERP). Il fallait l'oser pour le grand public. Lightroom visait initialement les photographes indépendants, bien démunis depuis que le numérique fait reposer sur leurs épaules toute la chaine de production, depuis l'acquisition jusqu'au livrable.
Son succès en a fait un formidable outil de familiarisation du traitement numérique par les amateurs. Je vous laisse imaginer la poule aux œufs d'or que cela pouvait représenter.
De plus, Photoshop, probablement l'application dont le piratage était –c'est une hypothèse, le mieux toléré par son éditeur, élargit son marché en incluant les non-professionnels comme nouvelle source de profit.
Face à ce type de stratégie, le logiciel libre a de belles cartes à jouer, celle de la pérennité, de l'interopérabilité, du travail collaboratif.
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- numérique & argentique, du compact 1" au 645
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- import : Rapid photo downloader
- catalogage : Digikam
- labo : darktable 4.4.0 >> ART
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