Merci à @michel_ruiz @Karbon et @applestore
@applestore Je touche à peu de modules (je garde la philosophie de l’argentique). Dans les paramètres, je suis les recommandations « moderne », relatives à la scène.
Aujourd’hui, j’ai une feuille de style assez basique :
reconstruire les hautes lumières (mode automatique)
correction des objectifs (mode automatique)
exposition (manuelle, à +0,5, bien que j’expose à droite, mais Sony sous-expose)
calibration de couleurs d’entrées : HP5+ (car c’était mon film fétiche)
contraste local (133%, 50%, 50%, 0,500)
Ensuite, je joue de la pipette niveaux automatiques de filmique rvb (scène), j’augmente parfois la luminance du gris moyen (question de goût) avec, si besoin, une correction du noir. Puis, dans look, je varie le contraste, généralement entre 1,350 et 1,650.
J’en reste là pour analyser l’image.
Après, je joue sur 3 modules (avec des variantes en clones), généralement dans cet ordre.
Dans calibration des couleurs, j’ai créé des préréglages de filtres (orange, jaune, etc. selon la vidéo de JC TUTOS
https://www.youtube.com/watch?v=Lg0SCbLyNxI). Je teste (rien de systématique). Si besoin, je module la luminosité des canaux RVB.
Dans égalisateur de tons, j’active « fusion masque: tout usage », je regarde la courbe et je module en onglet « simple ». Tout à la fin, si besoin, je touche aux trois premières lignes de l’onglet masque. Plus rarement, j’utilise « simple courbe des tonalités ».
Enfin, mais parfois avant, je modifie ponctuellement l’exposition.
Parfois, le module « suppression de la brume » apporte quelque chose, mais je l’oublie souvent.
Et je redresse (de plus en plus, même si j’ai d’énormes scrupules à recadrer, car j’ai tendance à pencher l’appareil de 1 à 2°, quoi que j’y fasse).